La confiance, l’atout maître de la Chambre Immobilière

Quand la déontologie incite à la confiance et le service est une passion : deux arguments qui motivent l’action de Sandra Silva au quotidien, à la tête de son agence comme au sein du conseil d’administration de la Chambre Immobilière du Grand-Duché du Luxembourg (CIGDL). Explications.
Madame Silva, pourquoi avez-vous décidé de rejoindre la CIGDL ?
« Cela m’est apparu comme le prolongement logique de mon engagement professionnel, agent immobilier depuis 16 ans et installée à mon compte depuis 7 années à la tête de Home2b. J’exerce ce métier avec passion et c’est cette même passion qui a motivé mon entrée à la CGDL, en 2015, puis mon intégration au conseil d’administration de la fédération et depuis septembre, la prise en charge des cours centrés sur la profession d’agent immobilier aux étudiants du BTS immobilier nouvellement créé. »
Très concrètement, que vous apporte l’appartenance à la CIGDL ?
« Je partage sans réserve les valeurs et les objectifs de la Chambre, étant convaincue comme les autres membres (agents, syndics de copropriété ou encore promoteurs) que pour garantir à nos clients un service professionnel irréprochable, nous devons respecter des règles encadrant notre savoir-faire, nos relations avec nos collègues comme avec le public. Et c’est pourquoi la CIGDL s’est dotée d’un Code de Déontologie, signé par l’ensemble de ses membres, assorti d’une Charte de Qualité. Ce ne sont pas de simples mots, mais des règles et des outils (comme éventuellement la Commission de discipline, un organe de médiation qui a vocation à solutionner tous les problèmes pouvant survenir entre professionnels ou dans le cadre de nos pratiques commerciales avec les clients). Avec la CIGDL, nous travaillons à garantir la crédibilité de tous les acteurs du secteur, et à parfaire des liens de confiance avec le public, gage d’efficacité dans notre exercice professionnel au quotidien. »
Dans ce contexte, quel « plus » procure la bourse ?
« Dès mon entrée au sein de la CIGDL, je me suis investie dans ce projet devenu réalité. La CIGDL est garante de valeurs et via la Bourse, facilite le travail des agents en veillant au grain. J’ai la conviction que cet outil de partage des mandats facilité par un réseau intranet traduit l’exigence de déontologie et d’efficacité dans un climat de confiance partagé par tous, professionnels, certes, mais aussi vendeurs ou acheteurs de biens. Nous sommes partis d’un constat : bien des agences se voient confier un mandat de vente, mais ne trouvent pas d’acheteur, ou inversement. La bourse aide à résoudre cette équation. Les professionnels ne sont plus isolés, mais collaborent avec in fine une rapidité et une efficacité largement améliorées. »
La bouse existe depuis trois ans désormais. Quel bilan peut-on dresser ?
« On peut dire qu’il s’agit d’un véritable réseau dont chaque adhérent garantit le respect d’une charte de qualité : un “plus” pour les clients ! On constate d’ailleurs que de plus en plus de vendeurs s’assurent quand ils confient un mandat à un agent que celui-ci est membre de la CIGDL et même de sa bourse. Cette notion de partage devient jour après jour incontournable. Conjuguer solidarité et professionnalisme, tout le monde y gagne. C’est très productif, notamment dans le domaine du B to B. »
Que du positif, donc ?
« Vendre plus rapidement, être plus efficace, gagner en renommée, pouvoir mener à bien des transactions contrôlées et régulées… Oui, c’est effectivement positif et impulse une nouvelle confiance envers le marché. Car il ne s’agit pas seulement de s’échanger des informations. Les règles sont bien précises et inscrites noir sur blanc dans le règlement interne de la bourse. L’agent mandaté — signataire du mandat de vente —, et son collègue qui représente le candidat acquéreur suivent un processus précis.
Le premier, le mandaté, évalue le bien, signe le mandat exclusif avec le propriétaire vendeur, publie les annonces — y compris donc, sur la plate-forme intranet des adhérents à la bourse — et en dernier lieu, prépare et suit les documents et étapes de la vente jusqu’à la signature de l’acte notarié. Le second, le collègue qui a trouvé un acquéreur, gère les contacts avec celui-ci, le représente dans les discussions et négociations, effectue le suivi du dossier de financement, et il l’assiste lors de la signature de l’acte.
Tout le monde est gagnant. Professionnels et clients vendeurs ou acquéreurs. Dans un cadre sécurisé, efficace, dans un climat de confiance. C’est ainsi que l’on avance, c’est ainsi que l’on gagne… C’est cet esprit, entre autres, que je m’efforce d’inculquer aux étudiants en BTS, nos futurs collègues… »
Madame Silva, pourquoi avez-vous décidé de rejoindre la CIGDL ?
« Cela m’est apparu comme le prolongement logique de mon engagement professionnel, agent immobilier depuis 14 ans et installée à mon compte depuis 5 années à la tête de Home2b. J’exerce ce métier avec passion et c’est cette même passion qui a motivé mon entrée à la CGDL, en 2015, puis mon intégration au conseil d’administration de la fédération et depuis septembre, la prise en charge des cours centrés sur la profession d’agent immobilier aux étudiants du BTS immobilier nouvellement créé. »
Très concrètement, que vous apporte l’appartenance à la CIGDL ?
« Je partage sans réserve les valeurs et les objectifs de la Chambre, étant convaincue comme les 160 membres (agents, syndics de copropriété ou encore promoteurs) que pour garantir à nos clients un service professionnel irréprochable, nous devons respecter des règles encadrant notre savoir-faire, nos relations avec nos collègues comme avec le public. Et c’est pourquoi la CIGDL s’est dotée d’un Code de Déontologie, signé par l’ensemble de ses membres, assorti d’une Charte de Qualité. Ce ne sont pas de simples mots, mais des règles et des outils (comme éventuellement la Commission de discipline, un organe de médiation qui a vocation à solutionner tous les problèmes pouvant survenir entre professionnels ou dans le cadre de nos pratiques commerciales avec les clients). Avec la CIGDL, nous travaillons à garantir la crédibilité de tous les acteurs du secteur, et à parfaire des liens de confiance avec le public, gage d’efficacité dans notre exercice professionnel au quotidien. »
Dans ce contexte, quel « plus » procure la bourse ?
« Dès mon entrée au sein de la CIGDL, je me suis investie dans ce projet devenu réalité. La CIGDL est garante de valeurs et via la Bourse, facilite le travail des agents en veillant au grain. J’ai la conviction que cet outil de partage des mandats facilité par un réseau intranet traduit l’exigence de déontologie et d’efficacité dans un climat de confiance partagé par tous, professionnels, certes, mais aussi vendeurs ou acheteurs de biens. Nous sommes partis d’un constat : bien des agences se voient confier un mandat de vente, mais ne trouvent pas d’acheteur, ou inversement. La bourse aide à résoudre cette équation. Les professionnels ne sont plus isolés, mais collaborent avec in fine une rapidité et une efficacité largement améliorées. »
La bouse existe depuis un an désormais. Quel bilan peut-on dresser ?
« Nous comptons déjà 26 membres. C’est une fierté. Au fond, on peut dire qu’il s’agit d’un véritable réseau dont chaque adhérent garantit le respect d’une charte de qualité : un “plus” pour les clients ! On constate d’ailleurs que de plus en plus de vendeurs s’assurent quand ils confient un mandat à un agent que celui-ci est membre de la CIGDL et même de sa bourse. Cette notion de partage devient jour après jour incontournable. Conjuguer solidarité et professionnalisme, tout le monde y gagne. C’est très productif, notamment dans le domaine du B to B. »
Que du positif, donc ?
« Vendre plus rapidement, être plus efficace, gagner en renommée, pouvoir mener à bien des transactions contrôlées et régulées… Oui, c’est effectivement positif et impulse une nouvelle confiance envers le marché. Car il ne s’agit pas seulement de s’échanger des informations. Les règles sont bien précises et inscrites noir sur blanc dans le règlement interne de la bourse. L’agent mandaté — signataire du mandat de vente —, et son collègue qui représente le candidat acquéreur suivent un processus précis.
Le premier, le mandaté, évalue le bien, signe le mandat exclusif avec le propriétaire vendeur, publie les annonces — y compris donc, sur la plate-forme intranet des adhérents à la bourse — et en dernier lieu, prépare et suit les documents et étapes de la vente jusqu’à la signature de l’acte notarié. Le second, le collègue qui a trouvé un acquéreur, gère les contacts avec celui-ci, le représente dans les discussions et négociations, effectue le suivi du dossier de financement, et il l’assiste lors de la signature de l’acte.
Tout le monde est gagnant. Professionnels et clients vendeurs ou acquéreurs. Dans un cadre sécurisé, efficace, dans un climat de confiance. C’est ainsi que l’on avance, c’est ainsi que l’on gagne… C’est cet esprit, entre autres, que je m’efforce d’inculquer aux étudiants en BTS, nos futurs collègues… »
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